Vos questions fréquentes pour tous les travaux de rénovation énergétique.

Explorez nos questions pour naviguer facilement dans le monde complexe de la rénovation énergétique et trouvez les réponses adaptées à vos besoins spécifiques.

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Ces coûts sont généralement répartis entre les participants, souvent proportionnellement à leur part dans le projet. Le modèle économique est défini lors de la création du projet et peut inclure des investissements initiaux et/ou des frais mensuels.

Non, bien que l’énergie solaire soit la plus courante, d’autres sources d’énergie renouvelable peuvent être utilisées, comme l’éolien à petite échelle ou la micro-hydraulique, selon les ressources locales disponibles.

Les surplus sont revendus au réseau, ou redistribués aux participants selon ce qui est prévu par la convention d’autoconsommation collective.

Oui, les participants conservent leur fournisseur d’électricité habituel pour l’électricité non couverte par l’autoconsommation collective.

La répartition se fait selon une convention de répartition définie à l’avance entre les participants la PMO et le gestionnaire du réseau (Enedis), généralement basée sur leur consommation ou leur investissement.

En France, la distance maximale entre participants ne doit pas excéder 2 km, sauf dérogation accordée par les autorités compétentes.

Tout consommateur ou producteur d’électricité (particuliers, entreprises, collectivités) situé dans un périmètre géographique défini et raccordé au réseau, peut y participer.

Elle permet de mutualiser les coûts d’une installation de production d’électricité, de réduire les factures d’électricité et la dépendance aux fournisseurs d’énergie, d’optimiser l’utilisation de l’énergie produite localement, et de favoriser la transition énergétique à l’échelle d’une copropriété, d’un quartier.

La PMO est une personne morale organisatrice. Il peut s’agir d’une entité juridique créée par les parties prenantes du projet d’ACC ou il peut s’agir d’une structure déjà existante qui va jouer ce rôle (collectivité, bailleur social, coopérative, etc…). La personne morale organisatrice est responsable de la gestion du projet. Elle coordonne les participants, gère la répartition de l’électricité produite, s’occupe des aspects administratifs et financiers, et assure la liaison avec le gestionnaire de réseau.

Bien qu’ayant tous deux pour mission de réguler la température de votre logement, ce sont deux dispositifs bien différents. La tête thermostatique connectée ressemble à un petit robinet. Elle se positionne sur un radiateur et permet de contrôler le flux d’eau chaude de cet appareil de chauffage en particulier. 

Le thermostat est chargé quant à lui de contrôler la chaudière : il peut l’allumer ou l’éteindre sans pour autant contrôler chaque radiateur de manière indépendante. Les deux dispositifs sont complémentaires.

Non, les vannes thermostatiques connectées ne sont pas prévues pour fonctionner sur un radiateur électrique.

Elles ne peuvent fonctionner que montées sur un radiateur à eau, pouvant être alimenté par une chaudière (gaz, fioul, bois, électrique) ou bien une pompe à chaleur air/eau.

Malgré sa grande efficacité, votre SSC ne pourra pas couvrir 100 % de vos besoins en chauffage et en eau chaude. Il fournira une partie importante de l’énergie dont vous avez besoin, néanmoins dans les régions bénéficiant d’un ensoleillement moindre ou pendant les périodes les plus froides, votre SSC devra être couplé à un système de chauffage d’appoint en cas de nécessité.

La pose de panneaux solaire obéit à des règles. Si votre logement se trouve à moins de 500 mètres d’un bâtiment ou d’un site classé, d’un monument historique ou dans un secteur sauvegardé, c’est l’architecte des Bâtiments de France qui est habilité à autoriser l’installation de votre installation solaires. Il sera donc nécessaire de prendre contact avec le Service départemental de l’architecture et du patrimoine de votre domicile.

La clé d’une installation solaire performante réside dans son dimensionnement. La superficie des capteurs solaires à mettre en place est étroitement liée à l’espace à chauffer, mais elle dépend de critères spécifiques qui peuvent varier d’une habitation à une autre. Dans une maison particulièrement bien isolée, un seul mètre carré de capteurs peut suffire à chauffer plus de 10 m² d’espace habitable. Généralement, pour un système solaire combiné, la surface de capteurs installée se situe entre 10 et 30 m², s’adaptant ainsi aux différentes configurations et besoins énergétiques des habitations.

Le système solaire combiné (SSC) permet de répondre simultanément à deux besoins essentiels du foyer : la production d’eau chaude sanitaire et le chauffage de l’habitat. En exploitant la lumière du soleil source d’énergie gratuite et renouvelable, le SSC offre l’opportunité de réduire significativement vos coûts énergétiques tout en diminuant l’empreinte carbone de votre logement.
Malgré ses avantages indéniables, le système solaire combiné présente certaines contraintes qu’il convient de prendre en compte. L’efficacité du système est étroitement liée aux conditions météorologiques, ce qui peut entraîner des variations dans la production d’énergie. Enfin le SSC ne suffit pas à lui seul à chauffer un logement, il est donc utilisé en appoint et couplé avec un autre système de chauffage.
Ainsi, bien que le SSC offre une solution écologique et économique attrayante sur le long terme, il est essentiel de peser soigneusement ces différents aspects avant d’opter pour cette technologie. Nos experts Greener réaliseront une évaluation approfondie de vos besoins énergétiques, des contraintes spatiales et de votre budget pour déterminer si le système solaire combiné est la solution la plus adaptée à votre situation.

Oui, c’est tout à fait possible d’utiliser votre système solaire combiné pour chauffer votre piscine de manière plus écologique. Vous pourrez ainsi profiter de votre piscine plus longtemps en maitrisant vos dépenses énergétique.

Ce système est requis pour installer des panneaux thermiques. Si vous n’en avez pas, il faut prévoir de faire des travaux. Cela peut engendrer des frais importants.

Non, la plupart des aides sont spécifiques à chaque installation. La prime à l’autoconsommation et l’obligation d’achat EDF sont des dispositifs réservées à l’installation de panneaux photovoltaïquesMaPrimeRénov’ concerne la rénovation énergétique et la mise en place d’un mode de chauffage plus performant, et le solaire thermique peut donc rentrer dans le cadre de cette aide.

Dans le langage courant, les expressions « panneaux solaires » et « panneaux photovoltaïques » sont souvent utilisées pour désigner la même chose. Mais il s’agit d’un abus de langage. Le panneau solaire désigne les technologies permettant de transformer l’énergie solaire en électricité ou en chaleur. Parmi ces technologies, on retrouve les panneaux solaires photovoltaïques et les panneaux solaires thermiques.

Tout le monde est éligible à condition que le système de chauffage ne soit pas collectif et que des têtes thermostatiques soient présentes sur le système hydraulique.

Oui, plusieurs aides financières sont disponibles pour réduire le coût d’installation comme les primes CEE par exemple.

Réduction de la consommation d’énergie, amélioration du confort et gestion à distance.

Les têtes de robinets remplacent vos thermostats et se connectent à une application pour un contrôle facile.

Oui, les poêles à granulés sont considérés comme écologiques car ils utilisent des granulés de bois, un combustible renouvelable. De plus, la combustion des granulés produit moins de CO2 par rapport aux combustibles fossiles, et les poêles à granulés modernes ont un rendement élevé, ce qui réduit les émissions et augmente l’efficacité énergétique.

La consommation de granulés pour un poêle dépend de plusieurs facteurs, comme la taille du logement, l’isolation, et la température extérieure. En moyenne, un poêle à granulés consomme entre 1 et 2 kg de granulés par heure de fonctionnement.

Oui, il est possible d’obtenir des aides financières pour l’installation d’un poêle à granulés, comme MaPrimeRénov’ et le crédit d’impots. Ces aides sont soumises à certaines conditions, telles que les caractéristiques du logement et les ressources du foyer. Rendez vous sur la page Aides pour en savoir plus

Le coût d’installation d’un poêle à granulés varie en fonction du modèle du poêle, de la complexité de l’installation (notamment la mise en place du conduit de cheminée) et de la région. En général, les coûts peuvent varier de quelques milliers d’euros à plus, sans compter les aides financières disponibles qui peuvent réduire significativement ce coût.

Oui, les poêles à granulés ont besoin d’un conduit de cheminée pour évacuer les fumées produites lors de la combustion. Le conduit doit être conforme aux normes en vigueur et correctement installé pour assurer une évacuation sécurisée des gaz.

L’entretien d’un poêle à granulés comprend le nettoyage régulier du brûleur, de la chambre de combustion, et du cendrier, ainsi que le contrôle de l’étanchéité et des joints. Il est également recommandé de faire inspecter et nettoyer annuellement le poêle par un professionnel.

Un poêle à granulés bien entretenu peut durer environ 10 à 20 ans. La durée de vie dépend de la qualité du poêle, de la fréquence d’utilisation et de la régularité de l’entretien.

La principale différence est le combustible : les poêles à granulés utilisent des granulés de bois, tandis que les poêles à bois brûlent des bûches. Les poêles à granulés sont généralement plus automatisés avec un contrôle plus précis de la combustion et de la température, tandis que les poêles à bois nécessitent une alimentation manuelle en bois et un réglage manuel de l’air pour contrôler la combustion.

Un poêle à granulés brûle des granulés de bois comprimés pour produire de la chaleur. Il est équipé d’un réservoir pour stocker les granulés et d’un système automatisé qui alimente la chambre de combustion. La quantité de granulés brûlés est régulée pour maintenir la température souhaitée, ce qui rend le système très efficace.

Les poêles à granulés offrent plusieurs avantages : ils sont écologiques, car les granulés sont un combustible renouvelable ; ils ont un haut rendement énergétique ; et ils sont faciles à utiliser avec des systèmes automatiques pour l’alimentation en granulés et le contrôle de la température. De plus, certains modèles sont éligibles à des aides financières pour l’installation.

Si vous envisagez des travaux de rénovation et que ces derniers impliquent des changements significatifs, une mise aux normes importante, ou une réhabilitation en profondeur de votre bâtiment, il est probable que votre projet relève d’une rénovation d’ampleur. Il est recommandé de consulter des professionnels du bâtiment pour évaluer vos besoins et déterminer l’ampleur des travaux nécessaires.

Il existe plusieurs aides financières destinées à soutenir les projets de rénovation d’ampleur :

MaPrimeRénov’
MaPrimeRénov’ Parcours accompagné
Éco-prêt à taux zéro
Le dispositif « Coup de pouce chauffage »
Le chèque énergie
Taux de TVA réduits pour vos travaux
Réduction d’impôt « Denormandie »
Exonération de la taxe foncière pour les travaux d’économies d’énergie
Les aides locales pour financer vos travaux de rénovation énergétique
Les certificats d’économie d’énergie (CEE)

Certains défis fréquemment rencontrés lors d’une rénovation d’ampleur incluent :

La gestion du budget et des délais.
La coordination des différents corps de métier et intervenants.
La gestion des imprévus et des changements en cours de travaux.
La préservation du patrimoine architectural ou historique.
La mise en conformité avec les réglementations en vigueur, notamment en matière d’accessibilité et d’efficacité énergétique.

Les étapes d’une rénovation d’ampleur peuvent varier en fonction de la taille et de la complexité du projet, mais elles comprennent généralement :

L’évaluation initiale des besoins et la planification du projet.
La conception architecturale et la consultation des professionnels du bâtiment.
L’obtention des autorisations et permis nécessaires.
La réalisation des travaux de construction ou de rénovation proprement dits.
Les inspections et les tests de conformité.
La réception des travaux et la remise des clés aux propriétaires ou occupants.

Les objectifs d’une rénovation d’ampleur peuvent varier en fonction des besoins spécifiques du projet, mais ils incluent généralement :

Améliorer le confort des occupants.
Moderniser les installations et équipements.
Réduire la consommation énergétique et les coûts associés.
Renforcer la résilience du bâtiment face aux risques naturels ou aux changements climatiques.
Valoriser le patrimoine immobilier et augmenter sa valeur.

Les rénovations d’ampleur peuvent concerner différents types de bâtiments, tels que les maisons individuelles, les immeubles résidentiels, les bâtiments commerciaux, industriels ou institutionnels, ainsi que les monuments historiques ou les bâtiments classés.

Une rénovation d’ampleur désigne un projet de rénovation qui implique des travaux significatifs sur un bâtiment, souvent visant à moderniser, rénover ou réhabiliter l’ensemble ou une grande partie de celui-ci. Ces travaux peuvent inclure la mise aux normes, l’amélioration de l’efficacité énergétique, la rénovation structurelle, l’extension, ou toute autre intervention nécessitant des changements importants.

Non, il n’est généralement pas nécessaire de quitter votre domicile. Nos auditeurs s’efforcent de minimiser les perturbations pendant l’audit.

Absolument. L’audit identifie les zones d’inefficacité énergétique et propose des solutions pour réduire votre consommation d’énergie, ce qui se traduit par des économies sur vos factures.

Oui, certaines subventions et aides de l’État sont disponibles pour couvrir jusqu’à la totalité des coûts d’un audit énergétique. Nous pouvons vous aider à identifier et à demander ces aides.

Greener utilise des outils de diagnostic avancés et notre équipe est composée d’experts certifiés partenaires, garantissant ainsi la précision et la fiabilité de nos audits énergétiques.

Non, l’audit énergétique n’est pas obligatoire pour tous les bâtiments, mais il est fortement recommandé, en particulier pour les bâtiments anciens ou ceux ayant une consommation énergétique élevée.

L’État propose diverses aides comme MaPrimeRénov’, l’Éco-prêt à taux zéro, et des subventions spécifiques pour encourager la rénovation énergétique des bâtiments classés F ou G.

L’étiquette énergétique, allant de A à G, indique la performance énergétique de votre bâtiment, A étant très efficace et G peu efficace. Cette étiquette aide à comprendre la consommation énergétique et le potentiel d’amélioration.

Absolument, le rapport vous donne des recommandations concrètes. Vous pouvez démarrer les travaux de rénovation énergétique en fonction de ces suggestions, en priorisant les actions selon votre budget et vos besoins.

La durée d’un audit énergétique varie selon la taille et la complexité du bâtiment. En général, il peut prendre de quelques heures à plusieurs jours.

Un DPE évalue la performance énergétique globale d’un bâtiment, principalement à des fins de vente ou de location. L’audit énergétique, quant à lui, est beaucoup plus détaillé, analysant en profondeur la consommation d’énergie et identifiant des solutions spécifiques pour améliorer l’efficacité énergétique.

Les installations énergétiques, telles que les panneaux solaires ou les systèmes de chauffage, peuvent nécessiter des autorisations environnementales, en fonction de leur taille et de leur impact. Ces autorisations varient selon les réglementations locales et nationales. Il est essentiel de se renseigner auprès des autorités compétentes, comme la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) ou la mairie, pour obtenir les informations spécifiques à chaque projet.
Les installations électriques dans le résidentiel doivent respecter la norme NFC 15-100. Cette norme définit les exigences de sécurité pour la conception, la réalisation, et la vérification des installations électriques. Il est important de faire appel à un professionnel qualifié pour garantir le respect de ces normes, surtout en cas de rénovation ou d’installation de nouveaux équipements comme des panneaux solaires ou des systèmes de chauffage.
Le raccordement électrique implique plusieurs étapes, allant de la transmission de la demande à Enedis jusqu’au paiement de la facture finale. Ce processus comprend la définition de la solution technique, la réalisation des travaux de raccordement, et enfin la mise en service de l’installation électrique. Il est important de se renseigner auprès d’Enedis ou d’un prestataire qualifié pour les détails spécifiques​​.
La récupération de la TVA pour des installations solaires de plus de 3,5 kWc implique certaines démarches administratives, notamment la déclaration auprès des services fiscaux. Il est recommandé de se renseigner auprès d’un expert comptable ou des services fiscaux pour connaître les démarches précises et les documents nécessaires.
Une déclaration préalable est requise pour certains travaux d’isolation. Cette autorisation d’urbanisme est indispensable avant le début des travaux. Le processus implique la soumission de documents nécessaires auprès de la mairie, et peut varier selon que le projet se situe dans un secteur protégé ou non. Il est conseillé de se renseigner directement auprès de la mairie concernée​​​​​​​​​​​​.
L’obtention d’un certificat Consuel pour une installation électrique nécessite plusieurs étapes, allant de la préparation de la demande jusqu’à la visite de contrôle. Ce certificat est essentiel pour garantir la conformité de l’installation électrique aux normes de sécurité. Les démarches peuvent varier selon que les travaux sont réalisés par un professionnel ou un particulier​​.
Oui, depuis le 1er février 2023, les primes pour l’installation d’un poêle à granulés et d’une VMC double flux ont diminué de 500 € pour les ménages modestes et très modestes. De plus, la prime ne s’applique plus à l’achat d’une chaudière à gaz et certains projets d’isolation « monotâche » pour les ménages aux ressources supérieures ne sont plus éligibles
La déclaration préalable de travaux est une étape obligatoire pour l’installation de panneaux solaires, car elle implique une modification de l’aspect extérieur du bâtiment. Cette démarche inclut le dépôt de la déclaration en mairie et la préparation de tous les documents nécessaires. Les démarches peuvent varier selon la localité, il est donc recommandé de se renseigner auprès de sa mairie pour les détails spécifiques​​​​​​​​.
Les forfaits pour les rénovations globales sont augmentés en 2023, passant de 7 000 à 10 000 € pour les ménages aux ressources intermédiaires et de 3 500 à 5 000 € pour ceux aux ressources supérieures
Ma Prime Rénov Copropriétés finance des travaux de rénovation énergétique globale dans les copropriétés, avec des plafonds rehaussés de 15 000 à 25 000 €. Les primes individuelles pour les ménages résidents dans la copropriété sont également augmentées​​.
En 2023, MaPrimeRénov’ a introduit des changements significatifs : augmentation des plafonds de travaux de rénovation éligibles, augmentation de l’enveloppe budgétaire allouée, et un accent mis sur l’encouragement des rénovations énergétiques performantes, notamment pour les ménages modestes
Ma Prime Rénov Sérénité, qui s’adresse aux propriétaires occupants à revenus modestes ou très modestes, a vu ses plafonds de travaux revalorisés de 30 000 à 35 000 €. Les travaux doivent permettre un gain énergétique d’au moins 35%​​.
En 2023, MaPrimeRénov’ a subi des évolutions, notamment une augmentation des plafonds de travaux éligibles et des changements dans les primes pour certaines installations spécifiques, comme les poêles à granulés et les VMC double flux
Oui, une exonération de taxe foncière peut être accordée pendant 2 à 5 ans après des travaux d’agrandissement ou de changement de destination d’une pièce. Les conditions spécifiques varient selon les communes
Les collectivités locales peuvent proposer des aides financières pour la rénovation énergétique. Il est conseillé de s’adresser directement à sa mairie, son département ou sa région pour plus d’informations
Les offres “Coup de Pouce” majorent la prime énergie pour certains travaux, comme l’installation de systèmes de chauffage renouvelable. La prime peut aller jusqu’à 5 000 €, valable pour des travaux engagés jusqu’au 31 décembre 2025
Oui, une TVA à taux réduit de 5,5% (contre 20% normalement) s’applique aux travaux de rénovation énergétique pour les logements achevés depuis plus de 2 ans, à condition que les travaux soient réalisés par une entreprise qualifiée
Les CEE, aussi appelés prime énergie, sont un dispositif où l’État oblige les fournisseurs d’énergie à aider leurs clients à économiser de l’énergie via des travaux de rénovation. Les ménages peuvent recevoir une aide financière après validation de leur dossier par un organisme spécialisé
MaPrimeRénov’ Sérénité, gérée par l’Anah, est destinée aux ménages modestes et très modestes, finançant jusqu’à 50% du montant des travaux de rénovation énergétique, avec un plafond de 35 000 € en 2023. Les travaux doivent induire un gain de performance énergétique d’au moins 35%
L’éco-prêt à taux zéro permet de financer des travaux de rénovation énergétique pour les logements de plus de 2 ans, sans condition de ressources. Le prêt peut s’élever jusqu’à 50 000 € et doit être remboursé en 20 ans​
Oui, les panneaux photovoltaïques peuvent toujours produire de l’électricité par temps nuageux ou ensoleillé, bien que leur efficacité soit réduite. Ils nécessitent de la luminosité pour fonctionner, pas nécessairement du soleil direct.
MaPrimeRénov’ est une aide financière remplaçant le CITE (crédit d’impôt pour la transition énergétique), accessible à tous les ménages sans conditions de ressources depuis le 1er janvier 2021. Elle couvre les travaux de rénovation énergétique, avec un montant dépendant de la nature des travaux et du niveau de revenus, pouvant atteindre jusqu’à 11 000 € pour certains équipements
La principale différence est la capacité de production d’énergie. Un système de 3 kWc produira moins d’électricité qu’un système de 9 kWc. La taille de votre installation dépendra de vos besoins énergétiques, de l’espace disponible pour l’installation et de votre budget.
L’installation de panneaux photovoltaïques prend généralement entre 24 et 48 heures, selon la complexité de votre installation et les spécificités de votre propriété.
Le tarif de revente dépend des réglementations et des tarifs d’achat garantis fixés par le gouvernement. Ces tarifs varient en fonction du pays et de la région.
La production moyenne dépend de nombreux facteurs, y compris le climat, la saison, l’orientation des panneaux et leur efficacité. En moyenne, un panneau solaire photovoltaïques peut produire entre 250 et 400 kWh par an par kWc installé.
Un onduleur standard convertit le courant continu produit par l’ensemble des panneaux solaires en courant alternatif. Un micro-onduleur, en revanche, est attaché à chaque panneau solaire individuellement, permettant une conversion plus efficace et une meilleure gestion de l’énergie en cas de panne ou d’ombrage d’un des panneaux.
Des primes à l’autoconsommation, une TVA réduite, des aides locales, MaPrimeRénov’, et l’éco-prêt à taux zéro sont quelques-unes des aides disponibles pour financer l’installation de panneaux photovoltaïques
Produire votre propre électricité réduit vos factures, diminue votre empreinte carbone et favorise une consommation énergétique responsable​
L’autoconsommation totale implique d’utiliser toute l’électricité produite par vos panneaux, tandis que la revente partielle consiste à injecter l’excédent de production dans le réseau public pour une rémunération
Les panneaux solaires nécessitent peu d’entretien. La pluie élimine en général les déchets organiques et la poussière. Un nettoyage professionnel annuel est recommandé pour assurer le bon fonctionnement et la longévité de l’installation
Le coût varie entre 7 000 et 22 000 €, mais des aides à la rénovation énergétique peuvent réduire ce coût
Les panneaux solaires contiennent des cellules photovoltaïques qui transforment l’énergie solaire en électricité. L’énergie solaire captée est transformée en courant alternatif par un onduleur ou un micro onduleur et alimente ensuite les appareils électriques de la maison​
Il existe deux méthodes principales : l’intégration à la toiture et la surimposition. La surimposition, plus répandue et moins coûteuse, n’affecte pas l’étanchéité de la toiture et offre un meilleur rendement énergétique
Une pompe à chaleur air/eau capte la chaleur de l’air extérieur pour chauffer l’eau du système de chauffage central, tandis qu’une air/air transfère la chaleur directement dans l’air de la maison.
L’installation d’une pompe à chaleur prend généralement entre 24 et 48 heures, bien que cela puisse varier en fonction de la complexité du système et des conditions spécifiques de l’installation.
Oui, il existe plusieurs aides comme MaPrimeRénov, l’Eco-PTZ, le chèque énergie, la prime Coup de Pouce et des aides spécifiques pour les panneaux solaires​.
Vous pouvez utiliser les aides financières disponibles comme MaPrimeRénov’, l’Eco-PTZ, ou la prime Coup de Pouce. Pour le reste à charge, vous pouvez envisager un financement mensuel, rendant l’investissement plus gérable sur le long terme et rentable rapidement
Le prix d’une pompe à chaleur varie selon le type : entre 6 000 et 15 000€ pour une pompe à chaleur air/air, entre 7 000 et 15 000€ pour une air/eau, et entre 7 000 et 20 000€ pour une géothermique​
Oui, le chauffage solaire thermique est une option écologique intéressante. Cependant, il est crucial de calculer correctement la puissance nécessaire pour votre maison afin d’éviter la nécessité d’un chauffage d’appoint. Cette évaluation garantira que le système peut fournir suffisamment de chaleur même pendant les périodes les moins ensoleillées
Une pompe à chaleur capte la chaleur de l’air extérieur (même quand il fait froid) et la transfère à l’intérieur de votre maison. Elle peut également fonctionner en mode inverse pour la climatisation, en extrayant la chaleur de votre maison et la libérant à l’extérieur.
Les alternatives incluent les pompes à chaleur air eau ou air air, le chauffage solaire thermique, et, dans certains cas, le chauffage électrique, en particulier lorsque celui-ci est alimenté par des sources d’énergie renouvelables​ comme la pompe a chaleur
L’interdiction de nouvelles installations de chaudières au fioul est entrée en vigueur le 1er juillet 2022, tandis que celle des chaudières à gaz dans les logements neufs est effective depuis le 1er janvier 2022​
Bien que l’interdiction actuelle ne concerne que les nouvelles installations, il est prévu que les chaudières au fioul deviennent obsolètes. De plus, compte tenu du coût élevé du fioul et du gaz, maintenir ces systèmes devient de plus en plus coûteux. Il est donc économiquement avantageux de passer à des systèmes plus écologiques comme les pompes à chaleur, qui offrent des économies significatives sur le long terme en plus de réduire l’impact environnemental
Cette interdiction, effective depuis juillet 2022 pour le fioul et depuis janvier 2022 pour le gaz dans les logements neufs, vise à réduire l’utilisation des énergies fossiles polluantes et chères, et à améliorer la performance énergétique des bâtiments​ (lien pdf loi)
En faisant un bilan énergétique avec un conseiller Greener qui estimera les pertes d’énergies actuelles de votre maison.
Vous pouvez bénéficier de la Prime energie, MaPrimeRénov’, et de l’Éco-Prêt à Taux Zéro, inscrivez vous sur notre newsletter pour etre tenu informé de toutes les nouvelles aides pour l’isolation
Cela peut entraîner jusqu’à 10% d’économies d’énergie et améliorer le confort thermique, en particulier contre la sensation de pieds froids
Cela aide à réduire le froid venant du sol et peut apporter jusqu’à 10% d’économies d’énergie
Environ 20% des déperditions de chaleur d’une maison proviennent de murs mal isolés​
Oui, cela peut offrir jusqu’à 25% d’économies sur la consommation d’énergie et réduire la sensation de froid
Le choix dépend de la configuration de votre logement. Chaque méthode a ses avantages spécifiques
Isoler les combles réduit les déperditions de chaleur par le toit, qui peuvent représenter jusqu’à 30% des pertes totales
L’isolation améliore le confort thermique, réduit les factures d’énergie, élimine les courants d’air et valorise votre logement
L’isolation des combles peut vous faire économiser jusqu’à 30% sur votre consommation d’énergie​
A la différence de MaPrimeRénov’ qui est versée par l’Anah, la prime CEE est versée par un fournisseur vendant de l’énergie en France. Après avoir validé la complétion de votre dossier de prime CEE, nous le transmettons à l’un de nos partenaires énergéticiens pour validation finale. C’est lui qui se charge ensuite de verser la prime CEE sur votre compte !
Le recours à une entreprise ou à un professionnel RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) dans le domaine de travaux concernés est une condition sine qua non à l’obtention de la prime CEE et de MaPrimeRénov’. Vous pouvez vérifier la certification de votre professionnel en faisant une recherche dans l’annuaire mis à disposition par le gouvernement. Service bientôt disponible sur heero. A noter : Dans le cadre de MaPrimeRénov’, certains travaux sont exemptés d’obligation RGE. Il s’agit de :
  • L’installation d’une chaudière gaz THPE,
  • La dépose d’une cuve à fioul,
  • La prestation d’assistance à maîtrise d’ouvrage,
  • La protection des parois vitrées ou opaques contre le rayonnement solaire (uniquement pour la France d’Outre-mer).

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