Vos questions fréquentes pour tous les travaux de rénovation énergétique.
Explorez nos questions pour naviguer facilement dans le monde complexe de la rénovation énergétique et trouvez les réponses adaptées à vos besoins spécifiques.

Ces coûts sont généralement répartis entre les participants, souvent proportionnellement à leur part dans le projet. Le modèle économique est défini lors de la création du projet et peut inclure des investissements initiaux et/ou des frais mensuels.
Non, bien que l’énergie solaire soit la plus courante, d’autres sources d’énergie renouvelable peuvent être utilisées, comme l’éolien à petite échelle ou la micro-hydraulique, selon les ressources locales disponibles.
Les surplus sont revendus au réseau, ou redistribués aux participants selon ce qui est prévu par la convention d’autoconsommation collective.
Oui, les participants conservent leur fournisseur d’électricité habituel pour l’électricité non couverte par l’autoconsommation collective.
La répartition se fait selon une convention de répartition définie à l’avance entre les participants la PMO et le gestionnaire du réseau (Enedis), généralement basée sur leur consommation ou leur investissement.
En France, la distance maximale entre participants ne doit pas excéder 2 km, sauf dérogation accordée par les autorités compétentes.
Tout consommateur ou producteur d’électricité (particuliers, entreprises, collectivités) situé dans un périmètre géographique défini et raccordé au réseau, peut y participer.
Elle permet de mutualiser les coûts d’une installation de production d’électricité, de réduire les factures d’électricité et la dépendance aux fournisseurs d’énergie, d’optimiser l’utilisation de l’énergie produite localement, et de favoriser la transition énergétique à l’échelle d’une copropriété, d’un quartier.
La PMO est une personne morale organisatrice. Il peut s’agir d’une entité juridique créée par les parties prenantes du projet d’ACC ou il peut s’agir d’une structure déjà existante qui va jouer ce rôle (collectivité, bailleur social, coopérative, etc…). La personne morale organisatrice est responsable de la gestion du projet. Elle coordonne les participants, gère la répartition de l’électricité produite, s’occupe des aspects administratifs et financiers, et assure la liaison avec le gestionnaire de réseau.
Bien qu’ayant tous deux pour mission de réguler la température de votre logement, ce sont deux dispositifs bien différents. La tête thermostatique connectée ressemble à un petit robinet. Elle se positionne sur un radiateur et permet de contrôler le flux d’eau chaude de cet appareil de chauffage en particulier.
Le thermostat est chargé quant à lui de contrôler la chaudière : il peut l’allumer ou l’éteindre sans pour autant contrôler chaque radiateur de manière indépendante. Les deux dispositifs sont complémentaires.
Non, les vannes thermostatiques connectées ne sont pas prévues pour fonctionner sur un radiateur électrique.
Elles ne peuvent fonctionner que montées sur un radiateur à eau, pouvant être alimenté par une chaudière (gaz, fioul, bois, électrique) ou bien une pompe à chaleur air/eau.
Malgré sa grande efficacité, votre SSC ne pourra pas couvrir 100 % de vos besoins en chauffage et en eau chaude. Il fournira une partie importante de l’énergie dont vous avez besoin, néanmoins dans les régions bénéficiant d’un ensoleillement moindre ou pendant les périodes les plus froides, votre SSC devra être couplé à un système de chauffage d’appoint en cas de nécessité.
La pose de panneaux solaire obéit à des règles. Si votre logement se trouve à moins de 500 mètres d’un bâtiment ou d’un site classé, d’un monument historique ou dans un secteur sauvegardé, c’est l’architecte des Bâtiments de France qui est habilité à autoriser l’installation de votre installation solaires. Il sera donc nécessaire de prendre contact avec le Service départemental de l’architecture et du patrimoine de votre domicile.
La clé d’une installation solaire performante réside dans son dimensionnement. La superficie des capteurs solaires à mettre en place est étroitement liée à l’espace à chauffer, mais elle dépend de critères spécifiques qui peuvent varier d’une habitation à une autre. Dans une maison particulièrement bien isolée, un seul mètre carré de capteurs peut suffire à chauffer plus de 10 m² d’espace habitable. Généralement, pour un système solaire combiné, la surface de capteurs installée se situe entre 10 et 30 m², s’adaptant ainsi aux différentes configurations et besoins énergétiques des habitations.
Le système solaire combiné (SSC) permet de répondre simultanément à deux besoins essentiels du foyer : la production d’eau chaude sanitaire et le chauffage de l’habitat. En exploitant la lumière du soleil source d’énergie gratuite et renouvelable, le SSC offre l’opportunité de réduire significativement vos coûts énergétiques tout en diminuant l’empreinte carbone de votre logement.
Malgré ses avantages indéniables, le système solaire combiné présente certaines contraintes qu’il convient de prendre en compte. L’efficacité du système est étroitement liée aux conditions météorologiques, ce qui peut entraîner des variations dans la production d’énergie. Enfin le SSC ne suffit pas à lui seul à chauffer un logement, il est donc utilisé en appoint et couplé avec un autre système de chauffage.
Ainsi, bien que le SSC offre une solution écologique et économique attrayante sur le long terme, il est essentiel de peser soigneusement ces différents aspects avant d’opter pour cette technologie. Nos experts Greener réaliseront une évaluation approfondie de vos besoins énergétiques, des contraintes spatiales et de votre budget pour déterminer si le système solaire combiné est la solution la plus adaptée à votre situation.
Oui, c’est tout à fait possible d’utiliser votre système solaire combiné pour chauffer votre piscine de manière plus écologique. Vous pourrez ainsi profiter de votre piscine plus longtemps en maitrisant vos dépenses énergétique.
Ce système est requis pour installer des panneaux thermiques. Si vous n’en avez pas, il faut prévoir de faire des travaux. Cela peut engendrer des frais importants.
Non, la plupart des aides sont spécifiques à chaque installation. La prime à l’autoconsommation et l’obligation d’achat EDF sont des dispositifs réservées à l’installation de panneaux photovoltaïques. MaPrimeRénov’ concerne la rénovation énergétique et la mise en place d’un mode de chauffage plus performant, et le solaire thermique peut donc rentrer dans le cadre de cette aide.
Dans le langage courant, les expressions « panneaux solaires » et « panneaux photovoltaïques » sont souvent utilisées pour désigner la même chose. Mais il s’agit d’un abus de langage. Le panneau solaire désigne les technologies permettant de transformer l’énergie solaire en électricité ou en chaleur. Parmi ces technologies, on retrouve les panneaux solaires photovoltaïques et les panneaux solaires thermiques.
Tout le monde est éligible à condition que le système de chauffage ne soit pas collectif et que des têtes thermostatiques soient présentes sur le système hydraulique.
Oui, plusieurs aides financières sont disponibles pour réduire le coût d’installation comme les primes CEE par exemple.
Réduction de la consommation d’énergie, amélioration du confort et gestion à distance.
Les têtes de robinets remplacent vos thermostats et se connectent à une application pour un contrôle facile.
Oui, les poêles à granulés sont considérés comme écologiques car ils utilisent des granulés de bois, un combustible renouvelable. De plus, la combustion des granulés produit moins de CO2 par rapport aux combustibles fossiles, et les poêles à granulés modernes ont un rendement élevé, ce qui réduit les émissions et augmente l’efficacité énergétique.
La consommation de granulés pour un poêle dépend de plusieurs facteurs, comme la taille du logement, l’isolation, et la température extérieure. En moyenne, un poêle à granulés consomme entre 1 et 2 kg de granulés par heure de fonctionnement.
Oui, il est possible d’obtenir des aides financières pour l’installation d’un poêle à granulés, comme MaPrimeRénov’ et le crédit d’impots. Ces aides sont soumises à certaines conditions, telles que les caractéristiques du logement et les ressources du foyer. Rendez vous sur la page Aides pour en savoir plus
Le coût d’installation d’un poêle à granulés varie en fonction du modèle du poêle, de la complexité de l’installation (notamment la mise en place du conduit de cheminée) et de la région. En général, les coûts peuvent varier de quelques milliers d’euros à plus, sans compter les aides financières disponibles qui peuvent réduire significativement ce coût.
Oui, les poêles à granulés ont besoin d’un conduit de cheminée pour évacuer les fumées produites lors de la combustion. Le conduit doit être conforme aux normes en vigueur et correctement installé pour assurer une évacuation sécurisée des gaz.
L’entretien d’un poêle à granulés comprend le nettoyage régulier du brûleur, de la chambre de combustion, et du cendrier, ainsi que le contrôle de l’étanchéité et des joints. Il est également recommandé de faire inspecter et nettoyer annuellement le poêle par un professionnel.
Un poêle à granulés bien entretenu peut durer environ 10 à 20 ans. La durée de vie dépend de la qualité du poêle, de la fréquence d’utilisation et de la régularité de l’entretien.
La principale différence est le combustible : les poêles à granulés utilisent des granulés de bois, tandis que les poêles à bois brûlent des bûches. Les poêles à granulés sont généralement plus automatisés avec un contrôle plus précis de la combustion et de la température, tandis que les poêles à bois nécessitent une alimentation manuelle en bois et un réglage manuel de l’air pour contrôler la combustion.
Un poêle à granulés brûle des granulés de bois comprimés pour produire de la chaleur. Il est équipé d’un réservoir pour stocker les granulés et d’un système automatisé qui alimente la chambre de combustion. La quantité de granulés brûlés est régulée pour maintenir la température souhaitée, ce qui rend le système très efficace.
Les poêles à granulés offrent plusieurs avantages : ils sont écologiques, car les granulés sont un combustible renouvelable ; ils ont un haut rendement énergétique ; et ils sont faciles à utiliser avec des systèmes automatiques pour l’alimentation en granulés et le contrôle de la température. De plus, certains modèles sont éligibles à des aides financières pour l’installation.
Si vous envisagez des travaux de rénovation et que ces derniers impliquent des changements significatifs, une mise aux normes importante, ou une réhabilitation en profondeur de votre bâtiment, il est probable que votre projet relève d’une rénovation d’ampleur. Il est recommandé de consulter des professionnels du bâtiment pour évaluer vos besoins et déterminer l’ampleur des travaux nécessaires.
Il existe plusieurs aides financières destinées à soutenir les projets de rénovation d’ampleur :
MaPrimeRénov’
MaPrimeRénov’ Parcours accompagné
Éco-prêt à taux zéro
Le dispositif « Coup de pouce chauffage »
Le chèque énergie
Taux de TVA réduits pour vos travaux
Réduction d’impôt « Denormandie »
Exonération de la taxe foncière pour les travaux d’économies d’énergie
Les aides locales pour financer vos travaux de rénovation énergétique
Les certificats d’économie d’énergie (CEE)
Certains défis fréquemment rencontrés lors d’une rénovation d’ampleur incluent :
La gestion du budget et des délais.
La coordination des différents corps de métier et intervenants.
La gestion des imprévus et des changements en cours de travaux.
La préservation du patrimoine architectural ou historique.
La mise en conformité avec les réglementations en vigueur, notamment en matière d’accessibilité et d’efficacité énergétique.
Les étapes d’une rénovation d’ampleur peuvent varier en fonction de la taille et de la complexité du projet, mais elles comprennent généralement :
L’évaluation initiale des besoins et la planification du projet.
La conception architecturale et la consultation des professionnels du bâtiment.
L’obtention des autorisations et permis nécessaires.
La réalisation des travaux de construction ou de rénovation proprement dits.
Les inspections et les tests de conformité.
La réception des travaux et la remise des clés aux propriétaires ou occupants.
Les objectifs d’une rénovation d’ampleur peuvent varier en fonction des besoins spécifiques du projet, mais ils incluent généralement :
Améliorer le confort des occupants.
Moderniser les installations et équipements.
Réduire la consommation énergétique et les coûts associés.
Renforcer la résilience du bâtiment face aux risques naturels ou aux changements climatiques.
Valoriser le patrimoine immobilier et augmenter sa valeur.
Les rénovations d’ampleur peuvent concerner différents types de bâtiments, tels que les maisons individuelles, les immeubles résidentiels, les bâtiments commerciaux, industriels ou institutionnels, ainsi que les monuments historiques ou les bâtiments classés.
Une rénovation d’ampleur désigne un projet de rénovation qui implique des travaux significatifs sur un bâtiment, souvent visant à moderniser, rénover ou réhabiliter l’ensemble ou une grande partie de celui-ci. Ces travaux peuvent inclure la mise aux normes, l’amélioration de l’efficacité énergétique, la rénovation structurelle, l’extension, ou toute autre intervention nécessitant des changements importants.
Non, il n’est généralement pas nécessaire de quitter votre domicile. Nos auditeurs s’efforcent de minimiser les perturbations pendant l’audit.
Absolument. L’audit identifie les zones d’inefficacité énergétique et propose des solutions pour réduire votre consommation d’énergie, ce qui se traduit par des économies sur vos factures.
Oui, certaines subventions et aides de l’État sont disponibles pour couvrir jusqu’à la totalité des coûts d’un audit énergétique. Nous pouvons vous aider à identifier et à demander ces aides.
Greener utilise des outils de diagnostic avancés et notre équipe est composée d’experts certifiés partenaires, garantissant ainsi la précision et la fiabilité de nos audits énergétiques.
Non, l’audit énergétique n’est pas obligatoire pour tous les bâtiments, mais il est fortement recommandé, en particulier pour les bâtiments anciens ou ceux ayant une consommation énergétique élevée.
L’État propose diverses aides comme MaPrimeRénov’, l’Éco-prêt à taux zéro, et des subventions spécifiques pour encourager la rénovation énergétique des bâtiments classés F ou G.
L’étiquette énergétique, allant de A à G, indique la performance énergétique de votre bâtiment, A étant très efficace et G peu efficace. Cette étiquette aide à comprendre la consommation énergétique et le potentiel d’amélioration.
Absolument, le rapport vous donne des recommandations concrètes. Vous pouvez démarrer les travaux de rénovation énergétique en fonction de ces suggestions, en priorisant les actions selon votre budget et vos besoins.
La durée d’un audit énergétique varie selon la taille et la complexité du bâtiment. En général, il peut prendre de quelques heures à plusieurs jours.
Un DPE évalue la performance énergétique globale d’un bâtiment, principalement à des fins de vente ou de location. L’audit énergétique, quant à lui, est beaucoup plus détaillé, analysant en profondeur la consommation d’énergie et identifiant des solutions spécifiques pour améliorer l’efficacité énergétique.
- L’installation d’une chaudière gaz THPE,
- La dépose d’une cuve à fioul,
- La prestation d’assistance à maîtrise d’ouvrage,
- La protection des parois vitrées ou opaques contre le rayonnement solaire (uniquement pour la France d’Outre-mer).
Non, il n’est généralement pas nécessaire de quitter votre domicile. Nos auditeurs s’efforcent de minimiser les perturbations pendant l’audit.
Absolument. L’audit identifie les zones d’inefficacité énergétique et propose des solutions pour réduire votre consommation d’énergie, ce qui se traduit par des économies sur vos factures.
Oui, certaines subventions et aides de l’État sont disponibles pour couvrir jusqu’à la totalité des coûts d’un audit énergétique. Nous pouvons vous aider à identifier et à demander ces aides.
Greener utilise des outils de diagnostic avancés et notre équipe est composée d’experts certifiés partenaires, garantissant ainsi la précision et la fiabilité de nos audits énergétiques.
Non, l’audit énergétique n’est pas obligatoire pour tous les bâtiments, mais il est fortement recommandé, en particulier pour les bâtiments anciens ou ceux ayant une consommation énergétique élevée.
L’État propose diverses aides comme MaPrimeRénov’, l’Éco-prêt à taux zéro, et des subventions spécifiques pour encourager la rénovation énergétique des bâtiments classés F ou G.
L’étiquette énergétique, allant de A à G, indique la performance énergétique de votre bâtiment, A étant très efficace et G peu efficace. Cette étiquette aide à comprendre la consommation énergétique et le potentiel d’amélioration.
Absolument, le rapport vous donne des recommandations concrètes. Vous pouvez démarrer les travaux de rénovation énergétique en fonction de ces suggestions, en priorisant les actions selon votre budget et vos besoins.
La durée d’un audit énergétique varie selon la taille et la complexité du bâtiment. En général, il peut prendre de quelques heures à plusieurs jours.
Un DPE évalue la performance énergétique globale d’un bâtiment, principalement à des fins de vente ou de location. L’audit énergétique, quant à lui, est beaucoup plus détaillé, analysant en profondeur la consommation d’énergie et identifiant des solutions spécifiques pour améliorer l’efficacité énergétique.
Si vous envisagez des travaux de rénovation et que ces derniers impliquent des changements significatifs, une mise aux normes importante, ou une réhabilitation en profondeur de votre bâtiment, il est probable que votre projet relève d’une rénovation d’ampleur. Il est recommandé de consulter des professionnels du bâtiment pour évaluer vos besoins et déterminer l’ampleur des travaux nécessaires.
Il existe plusieurs aides financières destinées à soutenir les projets de rénovation d’ampleur :
MaPrimeRénov’
MaPrimeRénov’ Parcours accompagné
Éco-prêt à taux zéro
Le dispositif « Coup de pouce chauffage »
Le chèque énergie
Taux de TVA réduits pour vos travaux
Réduction d’impôt « Denormandie »
Exonération de la taxe foncière pour les travaux d’économies d’énergie
Les aides locales pour financer vos travaux de rénovation énergétique
Les certificats d’économie d’énergie (CEE)
Certains défis fréquemment rencontrés lors d’une rénovation d’ampleur incluent :
La gestion du budget et des délais.
La coordination des différents corps de métier et intervenants.
La gestion des imprévus et des changements en cours de travaux.
La préservation du patrimoine architectural ou historique.
La mise en conformité avec les réglementations en vigueur, notamment en matière d’accessibilité et d’efficacité énergétique.
Les étapes d’une rénovation d’ampleur peuvent varier en fonction de la taille et de la complexité du projet, mais elles comprennent généralement :
L’évaluation initiale des besoins et la planification du projet.
La conception architecturale et la consultation des professionnels du bâtiment.
L’obtention des autorisations et permis nécessaires.
La réalisation des travaux de construction ou de rénovation proprement dits.
Les inspections et les tests de conformité.
La réception des travaux et la remise des clés aux propriétaires ou occupants.
Les objectifs d’une rénovation d’ampleur peuvent varier en fonction des besoins spécifiques du projet, mais ils incluent généralement :
Améliorer le confort des occupants.
Moderniser les installations et équipements.
Réduire la consommation énergétique et les coûts associés.
Renforcer la résilience du bâtiment face aux risques naturels ou aux changements climatiques.
Valoriser le patrimoine immobilier et augmenter sa valeur.
Les rénovations d’ampleur peuvent concerner différents types de bâtiments, tels que les maisons individuelles, les immeubles résidentiels, les bâtiments commerciaux, industriels ou institutionnels, ainsi que les monuments historiques ou les bâtiments classés.
Une rénovation d’ampleur désigne un projet de rénovation qui implique des travaux significatifs sur un bâtiment, souvent visant à moderniser, rénover ou réhabiliter l’ensemble ou une grande partie de celui-ci. Ces travaux peuvent inclure la mise aux normes, l’amélioration de l’efficacité énergétique, la rénovation structurelle, l’extension, ou toute autre intervention nécessitant des changements importants.
Oui, les poêles à granulés sont considérés comme écologiques car ils utilisent des granulés de bois, un combustible renouvelable. De plus, la combustion des granulés produit moins de CO2 par rapport aux combustibles fossiles, et les poêles à granulés modernes ont un rendement élevé, ce qui réduit les émissions et augmente l’efficacité énergétique.
La consommation de granulés pour un poêle dépend de plusieurs facteurs, comme la taille du logement, l’isolation, et la température extérieure. En moyenne, un poêle à granulés consomme entre 1 et 2 kg de granulés par heure de fonctionnement.
Oui, il est possible d’obtenir des aides financières pour l’installation d’un poêle à granulés, comme MaPrimeRénov’ et le crédit d’impots. Ces aides sont soumises à certaines conditions, telles que les caractéristiques du logement et les ressources du foyer. Rendez vous sur la page Aides pour en savoir plus
Le coût d’installation d’un poêle à granulés varie en fonction du modèle du poêle, de la complexité de l’installation (notamment la mise en place du conduit de cheminée) et de la région. En général, les coûts peuvent varier de quelques milliers d’euros à plus, sans compter les aides financières disponibles qui peuvent réduire significativement ce coût.
Oui, les poêles à granulés ont besoin d’un conduit de cheminée pour évacuer les fumées produites lors de la combustion. Le conduit doit être conforme aux normes en vigueur et correctement installé pour assurer une évacuation sécurisée des gaz.
L’entretien d’un poêle à granulés comprend le nettoyage régulier du brûleur, de la chambre de combustion, et du cendrier, ainsi que le contrôle de l’étanchéité et des joints. Il est également recommandé de faire inspecter et nettoyer annuellement le poêle par un professionnel.
Un poêle à granulés bien entretenu peut durer environ 10 à 20 ans. La durée de vie dépend de la qualité du poêle, de la fréquence d’utilisation et de la régularité de l’entretien.
La principale différence est le combustible : les poêles à granulés utilisent des granulés de bois, tandis que les poêles à bois brûlent des bûches. Les poêles à granulés sont généralement plus automatisés avec un contrôle plus précis de la combustion et de la température, tandis que les poêles à bois nécessitent une alimentation manuelle en bois et un réglage manuel de l’air pour contrôler la combustion.
Un poêle à granulés brûle des granulés de bois comprimés pour produire de la chaleur. Il est équipé d’un réservoir pour stocker les granulés et d’un système automatisé qui alimente la chambre de combustion. La quantité de granulés brûlés est régulée pour maintenir la température souhaitée, ce qui rend le système très efficace.
Les poêles à granulés offrent plusieurs avantages : ils sont écologiques, car les granulés sont un combustible renouvelable ; ils ont un haut rendement énergétique ; et ils sont faciles à utiliser avec des systèmes automatiques pour l’alimentation en granulés et le contrôle de la température. De plus, certains modèles sont éligibles à des aides financières pour l’installation.
Bien qu’ayant tous deux pour mission de réguler la température de votre logement, ce sont deux dispositifs bien différents. La tête thermostatique connectée ressemble à un petit robinet. Elle se positionne sur un radiateur et permet de contrôler le flux d’eau chaude de cet appareil de chauffage en particulier.
Le thermostat est chargé quant à lui de contrôler la chaudière : il peut l’allumer ou l’éteindre sans pour autant contrôler chaque radiateur de manière indépendante. Les deux dispositifs sont complémentaires.
Non, les vannes thermostatiques connectées ne sont pas prévues pour fonctionner sur un radiateur électrique.
Elles ne peuvent fonctionner que montées sur un radiateur à eau, pouvant être alimenté par une chaudière (gaz, fioul, bois, électrique) ou bien une pompe à chaleur air/eau.
Tout le monde est éligible à condition que le système de chauffage ne soit pas collectif et que des têtes thermostatiques soient présentes sur le système hydraulique.
Oui, plusieurs aides financières sont disponibles pour réduire le coût d’installation comme les primes CEE par exemple.
Réduction de la consommation d’énergie, amélioration du confort et gestion à distance.
Les têtes de robinets remplacent vos thermostats et se connectent à une application pour un contrôle facile.
Malgré sa grande efficacité, votre SSC ne pourra pas couvrir 100 % de vos besoins en chauffage et en eau chaude. Il fournira une partie importante de l’énergie dont vous avez besoin, néanmoins dans les régions bénéficiant d’un ensoleillement moindre ou pendant les périodes les plus froides, votre SSC devra être couplé à un système de chauffage d’appoint en cas de nécessité.
La pose de panneaux solaire obéit à des règles. Si votre logement se trouve à moins de 500 mètres d’un bâtiment ou d’un site classé, d’un monument historique ou dans un secteur sauvegardé, c’est l’architecte des Bâtiments de France qui est habilité à autoriser l’installation de votre installation solaires. Il sera donc nécessaire de prendre contact avec le Service départemental de l’architecture et du patrimoine de votre domicile.
La clé d’une installation solaire performante réside dans son dimensionnement. La superficie des capteurs solaires à mettre en place est étroitement liée à l’espace à chauffer, mais elle dépend de critères spécifiques qui peuvent varier d’une habitation à une autre. Dans une maison particulièrement bien isolée, un seul mètre carré de capteurs peut suffire à chauffer plus de 10 m² d’espace habitable. Généralement, pour un système solaire combiné, la surface de capteurs installée se situe entre 10 et 30 m², s’adaptant ainsi aux différentes configurations et besoins énergétiques des habitations.
Le système solaire combiné (SSC) permet de répondre simultanément à deux besoins essentiels du foyer : la production d’eau chaude sanitaire et le chauffage de l’habitat. En exploitant la lumière du soleil source d’énergie gratuite et renouvelable, le SSC offre l’opportunité de réduire significativement vos coûts énergétiques tout en diminuant l’empreinte carbone de votre logement.
Malgré ses avantages indéniables, le système solaire combiné présente certaines contraintes qu’il convient de prendre en compte. L’efficacité du système est étroitement liée aux conditions météorologiques, ce qui peut entraîner des variations dans la production d’énergie. Enfin le SSC ne suffit pas à lui seul à chauffer un logement, il est donc utilisé en appoint et couplé avec un autre système de chauffage.
Ainsi, bien que le SSC offre une solution écologique et économique attrayante sur le long terme, il est essentiel de peser soigneusement ces différents aspects avant d’opter pour cette technologie. Nos experts Greener réaliseront une évaluation approfondie de vos besoins énergétiques, des contraintes spatiales et de votre budget pour déterminer si le système solaire combiné est la solution la plus adaptée à votre situation.
Oui, c’est tout à fait possible d’utiliser votre système solaire combiné pour chauffer votre piscine de manière plus écologique. Vous pourrez ainsi profiter de votre piscine plus longtemps en maitrisant vos dépenses énergétique.
Ce système est requis pour installer des panneaux thermiques. Si vous n’en avez pas, il faut prévoir de faire des travaux. Cela peut engendrer des frais importants.
Non, la plupart des aides sont spécifiques à chaque installation. La prime à l’autoconsommation et l’obligation d’achat EDF sont des dispositifs réservées à l’installation de panneaux photovoltaïques. MaPrimeRénov’ concerne la rénovation énergétique et la mise en place d’un mode de chauffage plus performant, et le solaire thermique peut donc rentrer dans le cadre de cette aide.
Dans le langage courant, les expressions « panneaux solaires » et « panneaux photovoltaïques » sont souvent utilisées pour désigner la même chose. Mais il s’agit d’un abus de langage. Le panneau solaire désigne les technologies permettant de transformer l’énergie solaire en électricité ou en chaleur. Parmi ces technologies, on retrouve les panneaux solaires photovoltaïques et les panneaux solaires thermiques.
Ces coûts sont généralement répartis entre les participants, souvent proportionnellement à leur part dans le projet. Le modèle économique est défini lors de la création du projet et peut inclure des investissements initiaux et/ou des frais mensuels.
Non, bien que l’énergie solaire soit la plus courante, d’autres sources d’énergie renouvelable peuvent être utilisées, comme l’éolien à petite échelle ou la micro-hydraulique, selon les ressources locales disponibles.
Les surplus sont revendus au réseau, ou redistribués aux participants selon ce qui est prévu par la convention d’autoconsommation collective.
Oui, les participants conservent leur fournisseur d’électricité habituel pour l’électricité non couverte par l’autoconsommation collective.
La répartition se fait selon une convention de répartition définie à l’avance entre les participants la PMO et le gestionnaire du réseau (Enedis), généralement basée sur leur consommation ou leur investissement.
En France, la distance maximale entre participants ne doit pas excéder 2 km, sauf dérogation accordée par les autorités compétentes.
Tout consommateur ou producteur d’électricité (particuliers, entreprises, collectivités) situé dans un périmètre géographique défini et raccordé au réseau, peut y participer.
Elle permet de mutualiser les coûts d’une installation de production d’électricité, de réduire les factures d’électricité et la dépendance aux fournisseurs d’énergie, d’optimiser l’utilisation de l’énergie produite localement, et de favoriser la transition énergétique à l’échelle d’une copropriété, d’un quartier.
La PMO est une personne morale organisatrice. Il peut s’agir d’une entité juridique créée par les parties prenantes du projet d’ACC ou il peut s’agir d’une structure déjà existante qui va jouer ce rôle (collectivité, bailleur social, coopérative, etc…). La personne morale organisatrice est responsable de la gestion du projet. Elle coordonne les participants, gère la répartition de l’électricité produite, s’occupe des aspects administratifs et financiers, et assure la liaison avec le gestionnaire de réseau.